- Il y a des moments où je ne me trouve pas assez. - La fusion crée des manques de pensée. - Une femme amoureuse, ça se voit comme l a peste . - Il a un peu de forêt dans la tête. - Mes cales se remplissent de sens. - Amore mio.
Son visage fermé. Simplement fermé. Sa bouche serrée. Simplement serrée. A côté d'elle, il est seul mais pas tant que je le vois. Il passe. Ne fait que passer. Il est passé.
Les hommes, membres de l'immense bestiaire, se trouent, s'aiment et gigotent dans une douleur colorée, rieuse, impudique et terrifiante et s'enchevêtrent dans un grotesque dialogue hiéroglyphique. (peinture Keith Haring)
Un - Ne me serrez pas dans vos bras. Deux - Bon. ... Pourquoi ? Un - Parce que ce n'est pas bon pour moi. Deux - Qu'est-ce qui serait bon pour vous ? Un - Que vous ne me serriez pas dans vos bras. Deux - Pour l'instant, vous êtes exaucés. Un - J'ai peur...
- Hier, c'était sacrément brutus. Hier seulement... - Ce peuplier est très peuplé. - Elle adore beaucoup de choses. ... Sauf moi... - La beauté, ça me va très bien. - J'ai cassé mes cordes vocales de silence . - Tu es mon légo. - Amore mio.
Un - Vous prenez l'ascenseur ? Deux - Cela n'est pas mon idée. Un - Vous avez quels genres d'idées ? Deux - D'autres. Un - Beaucoup ? Deux - A vrai dire, je n'en manque pas. Un - Ah. ... Mais à l'instant, vous attendez l'ascenseur ? Deux - Oui. Un - Vous...